IDENTITY

• Nom : Zeist Spell
  
• Prénom : Aaron
  
• Surnom : -aucun-
  
• Âge : 28 ans
  
• Date de Naissance : 16-04-1983
  
• Nationalité : Américaine
  
• Niveau Social : Elevé
  
• Statut Social : Célibataire 100%
  
• Métier : Directeur d'Agence de Mannequin de Luxe

INSIDE OF YOU

• Uke, Seme ou Ambi ? Seme
  
  
• Son plus grand rêve ? Avoir une ile déserte a son nom qui renfermerait un harem~
  
• Sa plus grande peur ? Ne plus attirer le regard des gens, et accessoirement ... Les oiseaux.
  
  
• Relations Familiales : 2 frères qui font des études dans la finance, une mère supportrice de son père, et pater en politique
  
  
• He loves/he hates : Aaron n’est pas quelqu’un de facile … C’est un esthète et il est très critique dans ses choix et ses gouts. Tout ce qui n’est pas beau ou qui ne peut lui servir est indigne de mériter son attention. Il aime regarder les plus prometteurs de ses mannequins se plier à la séance photo obligatoire en sous vêtement. Il les regarde de loin et repense à sa jeunesse dans les bras de son ancien amant. Il est dur envers ceux qu’ils jugent bon car il veut tirer le meilleur parti de leur potentiel et les mener au succès. Ce qu’il déteste par-dessus tout c’est quand on critique l’un de ses mannequins. C’est un peu comme si il était l’amant de tous, protecteur et jaloux … Il les forme pour la dur vie de globe trotter des podiums, et il lui arrive même d’avoir des histoires sans lendemain avec certain. Il ne crache jamais sur un petit verre et une cigarette, et adore se faire draguer dans les bars gays par de jeunes damoiseaux en fleur. Il aime être désiré, il aime être regardé, cela lui fait penser qu’il n’est peut-être plus si inutile que cela. Par contre tenter un peu de le contredire et de le dénigrer et vous verrez enfin la bête qui sommeille en lui et qui a soif de représailles. Il n’hésitera pas à se montrer susceptible et même violent si vous allez trop loin … Attention, c’est à vos risques et périls.
  
  
• Signe(s) Particulier(s) ? Un tatouage de serpent emmelé dans des ronces au bas du dos

TELL ME YOUR STORY

Vous voulez jouer les indiscrets hein ? Très bien puisque de toute façon je n’ai pas le choix et que je doute que vous regardiez mes photos et ma bio sur internet parce que vous n’êtes qu’une bande de gros flemmard je vais éclairer votre lampion.

Je suis né à Washington il y a maintenant 28 ans de cela. J’eus une éducation sans écueils dans une famille aisée. Mon père était un des dirigeants des relations publiques entre la maison blanche et le grand peuple, ma mère elle avait abandonné sa carrière d’avocate pour l’aider et le suivre dans ses déplacements. Mes deux plus jeunes frères et moi étions souvent livrez aux bras de baby-sitters et de précepteurs variés. On raconte même que mon père les faisait fuir, les pauvres … Et un beau jour, même les baby-sitters qui venaient s’occuper de la fratrie étaient soudainement devenus des hommes. Je ne compris que plus tard pourquoi ma mère les avait remplacé …

Quant à moi si je raconte égoïstement ma petite vie tranquille, j’entrais dans un internat réputé à mes quinze ans, eus mes diplômes avec mention et sorti de l’école à 17 ans. L’auteur de mes jours avait déjà tracé ma carrière. Il voulait m’envoyer à Oxford pour faire de brillantes études de médecine, seulement, je n’étais pas très intéressé par cela. Au lycée je travaillais parce que c’était obligatoire et que quitte à bosser autant écraser les autres de ma supériorité et les dégouter en paraissant désinvolte et en disant « oh je ne sais pas comment j’ai fait pour avoir eu 100% j’ai juste relu mon cours~ ». Mais faire de longues études … Non par pitié …

Cela occasionna quelques rixes entre mon paternel et moi, mais il ne voulait rien entendre et me mit dans le premier avion pour l’Angleterre. Je n’avais pas mon mot à dire. Ce qu’il ne savait pas, c’est que j’avais réellement l’intention de ne pas travailler. Je trainais dans l’underground de la ville, alors que mon père s’arrachait les cheveux de devoir payé des frais exceptionnel pour la dispense d’un savoir auquel je n’assistais même pas. Et puis un soir, dans un des bars branchés de Londres, un gars m’accosta en me proposant de venir essayer quelques unes de ses créations, et bla et bla et bla … Il était mignon et n’avait pas franchement l’air taré … Puis ce n’est pas avec mon mètre quatre vingt dix qu’on va venir me chercher des noises … Au pire je me disais que je pourrais essayer de passer du coté obscur du sexe … Parce que oui … à la base je me suis déjà tapé pas mal de fille, que voulez vous, les yeux verts et la supériorité ça les rend folle.

Je me pointais donc dans l’appartement de ce jeune créateur et m’extasiais sur les costumes parfaitement taillé et ornementé de manière délicate sans pour autant faire tapette. Je me déshabillais sans aucune gêne, lui laissant voir mes tablettes de chocolat que les deux heures de sport par jour que je m’imposais avaient sculpté. J’enfilais l’une de ses tenus et la le flash de son appareil photos m’éblouit sans que je ne m’y attende. Il se rapprocha et mis des épingles un peu partout pour faire des retouches directement sur mon corps. Cela chatouillait mais je tentais de rester de marbre. Quand il eut finit il me demanda si je pouvais poser pour lui dans l’instant. Je n’avais ni maquillage ni coiffure approprié et pourtant je me prêtais volontiers au jeu. Prenant tour à tour les poses qu’il me demandait jusqu’à arriver de moi-même à des poses lascives, chemise entrouverte, air coquin. Le sentir me mitrailler ainsi me fit me sentir quelqu’un d’autre … cela me fit du bien. Et dans l’intimité du studio photo improvisé dans son appartement, il lâcha son appareil et s’avança vers moi, m’adoubant comme sa nouvelle égérie d’un baiser étrangement doux. C’était le premier que j’échangeais avec un homme et loin de me déplaire, cela me fit frissonner de plaisir de la tête au pied. Il avait beau avoir la trentaine, et moi être juste majeur, je refermais timidement mes bras sur son dos, fléchissant légèrement les genoux pour me retrouver à sa hauteur.

Se passa ensuite ce qu’il devait se passer entre nous dans la chaleur du studio, sous les projecteurs aveuglant. Je ne découvris que le lendemain qui était ce type … En me réveillant pour soulager une envie pressante je me décollais du corps du créateur et sur une des étagères je vis le magazine Vogue avec le mec en couverture et en dessous, un nom que ma mère avait déjà prononcé plusieurs fois en ma présence… Oh putain, je venais de me taper un des papes montant de la mode … Je me demandais si je devais fuir ou bien resté planter là. Je ne le connaissais même pas … C’était juste … Hans Gabberson Bale …

Je pris mes affaires pour me rhabiller et déguerpir quand une voix ensommeillée se fit entendre. Il ne connaissait même pas mon prénom … On avait juste … couché ensemble … comme deux inconnus solitaires. Je me figeais alors que ma main empoignait les clefs de la porte d’entrée. Il était derrière moi, je l’entendais bailler. Lentement je me retournais, le dévisageant. Il me donna un papier et me dis de me rendre au casting dans une semaine. Je clignais des yeux en le fixant, avant de lui rendre le papier et de lui dire que je n’en avais pas besoin, puis de le planter là … et de m’enfuir.

Finalement j’avais retenu l’adresse et je m’étais tâté longuement pour m’y rendre. J’eus bon nez d’y aller, car il était présent et … Bizarrement j’avais comme l’impression qu’il savait que j’allais venir. Je fus choisi avec trois autres postulants. Seulement je n’avais aucune expérience. En fait il s’en fichait … Il adorait mon air provocateur et ma carrure. Il m’apprit les ficelles du métier, me fit l’emblème de sa marque, je travaillais sans discontinuer jusqu’à mes 24 printemps pour lui, entretenant toujours une liaison des plus brulantes avec lui. Cela faisait d’ailleurs les choux gras des journaux à scandale. Et puis vint le sombre jour où l’on me fit tomber de mon piédestal. Un concurrent très jaloux qui visait ma place avait payé des gars pour casser ma petite gueule de favoris. Non seulement ils m’ont laissé dans les poubelles mais ils m’avaient pêté les deux chevilles … Plus moyen de défiler, des semaines à l’hôpital … Et pourtant il ne m’avait pas remplacé. La petite frappe s’est fait arrêté et à été jeté en prison, mon mentor l’a compris quand il a essayé de le séduire.

Je n’étais plus que l’ombre de moi-même, j’ai rompu avec lui malgré ses larmes et nos douleurs je ne voulais rien entendre. Je me suis retiré de la scène et avec l’argent que j’avais gagné je fis bâtir mon agence sur ma renommée. Je n’étais plus capable de tenir un défilé entier et de courir partout pour changer de tenue. A la place je manageais les autres et je leur offrais des contrats juteux avec de grands noms de la mode. Cependant, et juste parce que je dois ce que je suis maintenant a Hans, je me prête à une séance photo annuelle où il me met en tête d’affiche de ses tracts sur ses défilés et sur son site internet. Mais désormais, c’est moi qui lui fournis ses meilleurs mannequins aux quatre coins du monde.

REALITY

• Nom/Pseudo : Lady D.
  
• Âge : Mettez votre véritable âge ! 19 patates
  
• Où avez-vous trouvé ce forum ? *pointe l'admin du doigt*
  
• Quel est votre avis dessus, avez-vous des suggestions ? Nope
  
• Code réglement :Code Bon

Bienvenue petit scarabée ~

Tu es validé =D

Fufufu merci grand scarabée x3

*Peut aller profiter de son hôte dans la légalité maintenant et prépare ses armes ... krkrkrkr*