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Enjyu Hollow

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Enjyu Hollow

Enjyu Hollow

Messages : 13
Date d'inscription : 29/12/2010
Localisation : Dans ton.......... Poumon gauche....

Feuille de personnage
Age rp : : 19 ans
Situation : : Allez vous faire mettre par un Pakku...

Enjyu Hollow Empty
MessageSujet: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitimeMer 29 Déc - 20:34

Enjyu Hollow 967534RedEnjyu



IDENTITY

  • Nom : Hollow
  • Prénom : Enjyu, Lithium.
  • Surnom : Nyu-Nyu, Alice, l'autre qui parle pas, le shooté, ça varit beaucoup en fait...
  • Âge : 19 ans.
  • Date de Naissance : 13 Octobre 1991.
  • Nationalité : Anglaise.
  • Niveau Social : A vrai dire il n'a pas un sous en poche. Il se débrouille comme il peut. D'ailleurs il pratique régulièrement le vol sur certains clients lorsqu'ils ont le dos tourné. Pour le moment il n'a pas encore été repéré... Il a l'air à la masse mais il ne faut pas s'y fier...
  • Statut Social : Célibataire. D'ailleurs il risque de se mettre à hurler si vous commencez à le tripoter, à bon entendeur...
  • Métier :
Strip-teaser.... Il n'en est pas trés fière mais ça lui permet plus ou moins de subvenir à ses besoins.

INSIDE OF YOU

[*]Uke, Seme ou Ambi ? Tournez la tête à gauche, oui voilà, vous voyez cet air de victime?..... Ben voilà ça répond à votre question....

[*]Son plus grand rêve ? Des rêves? Oh Enjyu en fait pleins, souvent, tout le temps, en fait c'est même ses rêves qui empiètent sur la réalité, mais c'est mieux comme ça, non? Pourquoi? Ca l'empêche de voir votre monde gris et terne, quoique dans son monde à lui ce n'est guère mieux.... Mais avoir un chat parlant comme conseiller ça n'a pas de prix.... Et pour tout le reste il y a la paye de fin de mois.

[*]Sa plus grande peur ? Il ne sait pas trop, son monde est déjà détruit, mais si il venait à disparraître il serait perdu. Il ne veux pas revoir son psy, plus jamais, surtout pas, et si celà arrivait il n'aurait personne pour le protéger... Ah mais son psy a ses médicaments non...? C'est encore pire, il ne doit plus en prendre, on ne doit plus le forcer à en prendre, c'est Silver qui l'a dit. Il a peur d'être approché en général, mais si vous ne le dérangez pas vous le verrez puisque c'est lui qui viendra à vous. Il a peur des araignées sinon... Ca pique et ça irrite, un peu comme son psy en fait.... De quoi on parlait déjà?

[*]Relations Familiales : Silver, Silver, il n'y a que Silver. Son père et sa mère ne sont que des ombres pour lui. Il n'y a que Silver qui s'occupe de lui. Mais il l'a abandonné pour un homme, et Enjyu ne lui parle presque plus. Il préfère parler au Chat.... Tiens, ils n'y auraient pas une ressemblance frappante entre ces deux là d'ailleurs? Silver ne miaule pas, mais le Chat à les même longs cheveux noirs...

[*]He loves/he hates : Il ne sait pas vraiment, il ne sait plus... Si, il aime bien jouer du piano, il est doué, il parrait, mais maintenant ses mains tremblent tellement qui n'arrive plus à suivre les touches. Mais voyez-vous, il s'en fiche, parce que il n'y a jamais personne pour l'écouter de toute façon. Il aime les bonbons et les gâteaux. C'est sucré, c'est coloré, mais il n'a plus les moyens d'en manger, c'est dommage. Il aime vous embêter aussi, pas méchamment, il est gentil Enjyu, mais ça ne l'empêche pas de vous insultez ou de mal parler, il n'y peux rien, c'est à cause de Silver, et votre présence le rend nerveux. Il a besoin de montrer qu'il est fort pour se protéger. Puis des fois vous ne comprenez pas pourquoi il vous dévisage. Il faut dire que pour lui ce n'est pas comme pour vous. Parfois votre image se brouille devant ses yeux et il vous voit différament, quand il ne se sent pas bien. Avant il avait des médicaments pour ça, il aimait ses petits médicaments... Ils le faisaient partir loin, très loin... Il n'avait plus peur de rien, il n'avait plus mal. Mais parfois ils le faisaient pleurer sans raison. Le psy disait quec'était pour son bien, que ça allait le soulager. Pourtant il pleurait, il pleurait Enjyu quand il voyait son monde tomber en ruine à cause des cachets et du docteur... Mais eles lui faisaient aussi tant de bien ces petites pillules... Maintenant il n'a plus le droit d'en prendre, ça lui manque beaucoup. Parfois il est en manque, mais c'est moins fréquent maintenant. C'est pas grave si il ne peut plus prendre ses médicaments, parce que son cutter il l'a toujours sur lui. C'est le meilleur des remèdes. Enjyu ne se fait pas de mal, non... Ca pique juste un peu mais ça soulage tellement, tellement...

En revanche, Enjyu sait ce qu'il n'aime pas. Les hommes. Enjyu est homosexuel, mais il ne supporte pas les hommes, paradoxale n'est-ce pas? Mais Enjyu n'est pas logique... Il aime bien les garçons, pas trop grands, pas trop fort, parfois quand ils lui parlent il essaye d'être gentil. Il a peur de ceux qui sont plus grands que lui, et ils sont nombreux, mais si ils sont rassurants et ne s'approchent pas trop, il ne hurlera pas. Mais les hommes ils ne les aiment pas. Ceux qui sont très grands, très forts, trop tactiles, trop pervers. Ca l'énerve, ça lui fait peur, ça le fait crier, ça lui rappelle l'autre... Et il n'y a rien qu'il déteste plus que son psy. Il a mis du temps à comprendre ce qu'il lui avait fait, ce qu'il avait essayé de lui faire. Parce que il était sous l'emprise des médicaments, il ne voyait rien, il ne comprenait rien, donc il le laissait le toucher. C'est Silver qui lui a expliqué ce qui se passait. Enjyu n'aime pas Silver. Il ne l'aime plus. Ou peut-être qu'il l'adore au final, il ne veut pas savoir. Mais il a préféré un autre homme à lui, alors ça l'énerve et Enjyu ne veut plus lui parler. C'était lui que Silver avait embrassé, c'était lui que Silver aimait avant, mais ça a changé, Enjyu ne sait pas pas pourquoi, il était devenu trop bête peut-être... Ou trop fou. Les gens n'aiment pas ceux qui sont fous, qui voient des choses qui n'existent pas. Tant pis pour eux, les gens sont au moins aussi stupides que lui de toute façon. Enjyu aime bien le Chat. Enfin il le déteste un peu en même temps. Parce que il lui montre toujours la vérité, et Enjyu ne veut rien savoir, il est bien dans ses illusions... En fait, Enjyu déteste tous ceux qui veulent le sortir de son monde, qui lui rappellent l'horreur du réel. Alors si vous le rencontrez il vaut mieux aller dans son sens, quitte à perdre les pédales vous même...


[*] Signe(s) Particulier(s) ? Ne vous y méprenez pas. Sous ses airs doux et innocents, l'adolescent cache un esprit vif et complexe qui peut s'averer être un véritable casse-tête si vous n'êtes pas capable de lire dans les pensées... Généralement peu enclin à la parole, il lui arrive cependant de s'exprimer autrement que par mono-syllabes lorsqu'il juge une conversation utile ou bien importante, mais il tient de son cousin sa manière de parler très directe et bien souvent odieuse, on ne pourra pas dire que vous n'êtes pas prévenu. Calme en toute circonstance, on pourrait presque croire qu'il considère toute existence comme un ennuis mortel. Mais il en est rien, il ne peut tout simplement pas faire autrement que de parraître toujours impassible envers ses interlocuteurs. Ne croyez pas que du haut de ses 19 ans et avec sa légère maturité il soit capable de survivre seul. Aussi, il a pour habitude de ne pas se détacher des gens qu'il considère à ses yeux comme utiles à sa survie sauf si ces derniers émettent le voeu de le voir les quitter. Ne vous attendez cependant pas à des adieux sentimentaux. Ce petit bout de jeune homme est un expert dans l'art de se faufiler en douce. Il est même très probable que vous ne vous aperceviez même pas de son absence tellement il est silencieux, a moins que vous soyez étroitement lié à lui mais c'est tellement grotesque comme idée.... Toujours le nez dans les nuages, il se laisse très facilement distraire par tout et n'importe quoi. Chose qui peut en effet se montrer particulièrement agaçante pour la personne qui lui parle car il a toujours tendance à réagir avec tout au plus plusieurs secondes d'écart. Il semble toujours être dans un état de fatigue fortement avancé. En réalité il dort justement beaucoup trop, et met un certain temps à se réveiller correctement, et lorsque cela est fait, il est largement l'heure de retourner se coucher. Il commate donc en permanence... Malgré son détachement de la réalité bien palpable, il n'en reste pas moins à l'écoute et écoute toujours ce qu'on lui dit d'une oreille attentive même si il ne le montre pas. Doué d'une excellente mémoire, il utilise cette capacité à son aventage dans bien des situations. Comme quand il sagit de retrouver la papier qui a été rangé au fond d'un tiroir trois mois aprés... Il est si calme qu'il pourrait passer pour une poupée inanimée, à laquelle il serait impossible de trouver un quelconque défaut. Or, il a des défauts, énormement. Mais il les renis tant et si bien qu'il passe bien volontier pour un enfant tout à fait sage et sans histoire... En conclusion, Enjyu est quelqu'un de très facile à vivre, parfois même utile. A condition de savoir le traîter correctement. Il serait préférable pour vous de ne pas chercher à briser le fragile équilibre qui s'est reconstruit dans son esprit malade... Ou vous en pairez les conséquences...

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Baissez la tête. Oui tout de suite. Sinon vous ne pourrez pas le voir... Enjyu n'est pas très grand, au contraire. Rares sont les personnes qui ne doivent pas se mettre à sa hauteur pour lui parler et le fait qu'il garde sa tête baissée en permanence n'arrange rien. Un mètres cinquante, si vous vous posez la question. Peut être plus petit, il n'en sais rien. Il n'est pas bien lourd non plus. Un poids plume en somme... Une jolie petite frimousse, ou bien effrayante de froideur, tout dépend du point de vue. Des yeux bleus, un brin trop claires sans doute, figés, inertes, sans tristesse, sans joie, sans colère. Juste le vide. Un nez simple, de toute façon Enjyu n'a rien d'extraordinaire en lui même, si ce n'est le fait qu'il est quasi-impossible de deviner son sexe en le regardant. Une bouche qui ne s'ouvre que très rarement, et voilà. Le tout encadré, ou plutôt couvert par des cheveux rougeoyants aux couleurs de l'automne. Il dissimule bien souvent son visage délicat sous son épaisse frange. Sa chevelure s'arrête aux niveau de ses omoplates, deux mèches bouclées tombant sur ses épaules. Passons à son corps maintenant. Fragile, on a bien souvent peur de le casser lorsqu'on le sert dans ses bras tellement il ressemble à une belle poupée. Un cou gracile, lui aussi si facile à briser... Des épaules frêles, beaucoup trop pour tout ce qu'elles ont à porter. Ses côtes sont parfois presques apparentes selon la position dans laquelle il se tient, il est bien trop maigre pour son âge, mais il n'y peu rien, pourtant il mange, beaucoup, surtout des sucreries. De l'anorexie? Enjyu ne présente aucun de ces symptômes pourtant... Il est maigrichon, c'est tout. Cependant, il y a bien un endroit de son corps avec de jolies formes... Ôooooo oui... Devinez où, vous aurez droit à une figurine de collection limité de Babar.... De petites mains aux doigts enfantins et délicats, aux ongles ni trop longs, ni trop courts, et des pieds tout aussi adorable. Un petit corps un peu chancellant, pas très solide, à regarder, à rêver, à câliner, à embrasser, à capturer ou à aimer. Rayez la ou les mentions inutiles...



TELL ME YOUR STORY

Hum....? Bonjour.... Je peux savoir ce que vous faites ici? J'ai horreur qu'on me regarde avec insistance... Ma vie? Ca vous interresse? Vous avez vraiment du temps à perdre... Tant pis pour vous, je vous aurais prévenu! Pour commencer, ma vie n'a rien d'extraordinaire, je suis une personne normale. A peu prés normale en tout cas. Mmmm... Je ne sais pas trop quoi dire. J'ai toujours dépendu des gens qui m'entouraient, parceque je suppose que j'ai toujours eu du mal à m'affirmer. Alors pour vous expliquer l'histoire de la pièce de théâtre que constitue ma vie, il faut que je vous en présente les acteurs principaux. Tout d'abord, et en toute logique, il y a mes géniteurs. Ma mère et mon père. Ma mère s'appelle Sephyra. Mon père s'appelle Terhem. Non, mes parents ne sortent pas tout droit d'un roman de fantasy où se cotoient chevalier et dragons. Ma famille est juste... Spéciale. Tenez! Un exemple! Mon prénom. Je suis Anglais et je m'appelle Enjyu. En réalité, mes parents sont des voyageurs. Lorsque ma mère est tombée enceinte, il a été décidé que je porterais un nom d'orgine Japonaise. Ma mère était tombée amoureuse de ce prénom lors de l'un de leur voyages au pays du soleil levant... Moi je m'y suis habitué, il ne me fait plus ni chaud ni froid. Bref. Je l'ai déjà dit, mes parents sont des voyageurs, aussi, je ne les voient pas souvent, pour ainsi dire jamais. Je ne suis pas vraiment trés proche d'eux. Ils ne me permettent pas de voyager avec eux, je suis trop jeune, je dois finir mes études, maintenant j'ai un travail, mais ça, nous y reviendrons plus tard... Bref. Je vis donc chez moi, dans la grande demeure familiale. C'est une espèce de manoir qui fait grand effet sur les enfants ou les adolescents des environs. Ils le disent hanté, habité par le Diable, ect... Je me souviens d'une anecdote à ce sujet. J'étais assit sur un banc, dans un parc non loin de chez moi, prés du bac à sable où jouaient des enfants. L'un d'entre eux a fait rouler sa balle à mes pieds, je l'ai ramassé et je lui ai rendu. Il m'a fixé avec de grands yeux de biches et il est partie en pleurant jusque dans les jupes de sa mère. Il m'a fallut quelques minutes avant de comprendre qu'il me prenait pour une sorcière. Aujourd'hui ça ne me fait plus rien, mais je peux vous assurer que sur le moment, je n'ai pas trouvé ça drôle du tout. Même si me fiche éperdument de ce que les gens pensent de moi, ça fait toujours mal. Bref. Là ,n'est pas le sujet. Vous demandez peut-être, même si ça m'étonnerais fortement, si je suis complètement livré à moi-même ou non? Et bien ce n'est pas le cas. En effet, je vis avec mon cousin. Voilà, je crois que c'est là que mon histoire commence vraiment. Il a un an de plus que moi, ses parents ne sont pas trés présents non plus. Je sais, c'est le genre de scénario qu'on ne trouve que dans les films ou les manga. Pourtant c'est vrai. Je vais retourner un peu en arrière. A mes 15 ans. Silver en avait 16. Oui, mon cousin s'appelle Silver, je pensais l'avoir précisé pardonnez-moi. Silver SilentCry. Déjà à 15 ans, j'avais une trés haute estime de lui. Il représentait tout ce que je rêvais d'être. Et je l'avoue, c'est encore le cas aujourd'hui. Il est un peu plus grand que moi. Il a un beau visage, des traits fin, tout comme moi il est quasiment asexué, ses cheveux sont longs jusqu'à la moitié de ses cuisses, noirs de jais. Ses yeux sont magnifiques, bleus, nuançés de mauve. Mmmm.... Est-ce que le roman Âmes Perdues vous dis quelqu'un chose? J'éspère bien car c'est l'un de mes livres favorits. Pour faire trés simple, Silver est l'incarnation vivante du héros, Nothing. Si c'est un charabia pour vous je vous conseille trés fortement de vous documentez... Donc. Silver et moi sommes trés proches. Il veille sur moi depuis trés longtemps maintenant. Pour être tout à fait honnête, c'est une vraie mère poule. Je déteste en parler mais je suis un bébé né prématurement. Pas de longtemps. Mais ça a suffit pour rendre plus fragile que la plupart de gens. Aussi, une simple grippe, totalement innofensive pour vous, peux s'avérer dangereuse pour moi si des mesures ne sont pas rapidement appliquées. Ca me pourrie plus ou moins la vie parceque du coup, je suis couvé par tout le monde. Croyez moi ou non, ça peut être trés désagréable d'être considéré en permanence comme une misérable petite bestiole blessée. Je souffre également, toujours à cause de ma naissance prématurée, d'un ralentissement de croissance assez considérable. Traduction: petite taille, pas de poils, crise hormonales fréquentes.... En gros c'est la joie. Bref, où en étais-je.... Ah oui, Silver! A cette époque, nous allions dans le même lycée. Il était en seconde année, moi en première. Il a toujours eu un trés fort caractère, il était respecté de pratiquement tout le monde, pour ne pas dire craint. Moi.... C'était une autre histoire... Notre vie était calme, la routine. Jusqu'à ce que les choses commencent à prendre un autre tournant. Je ne sais plus vraiment comment ça à commencé, à vrai dire je me suis retrouvé embarqué là dedans sans comprendre. C'était des amis de Silver. Assado et Michael BlackRaspberry. Deux dernières années. Des jumeaux. Assado, c'est une jeune fille trés belle. Si j'avais été hétérosexuelle, elle m'aurait peut-être interressé. Une beauté froide. Taciturne, trés peu communicative. Tout l'inverse de son frère. Michael c'est le genre typique du type plein de bonne volonté qui n'a aucun ennemi. Personnellement je l'ai toujours soupçonné de se faire passer pour plus idiot qu'il en a l'air. Ils sont châtains et leurs yeux sont bleus/gris. Ils sont d'orgine Anglaise mais ont pendant une époque déménagé à la Nouvelle Orléans avant de revenir dans leur pays natal. A l'époque où je les ais rencontré, ils étaient âgés de 19 ans. Puis il y avait Yû-Yû. Une fille trés spéciale, pas trés bien vue par les autres élèves. Mignonne et excentrique, avec les cheveux teints en bleus, japonaise d'origine. Je crois qu'il y avait un truc entre Assado et elle. A cette époque, nous avions le même âge, 15 ans. Je me suis malgré moi retrouvé leur amis, même si j'ai toujours pensé être juste un poids mort dans cette petite bande. Bon... Ca se voyait à des kilomètres depuis des mois, Silver et Michael ont finit par sortir ensembles. Tant mieux pour mon cousin. Moi ça m'était totalement égal. Je crois bien que Silver et Michael étaient réellement amoureux. Aprés moi je dis ça je dis rien, ça ne me regarde certainement pas... Ca a duré. Ca dure encore d'ailleurs. Ensuite, il y a eu Gaby. Gabriel plus précisement. Un type timide de la classe de Assado et Michael, trés peu affirmé mais bon en classe, roux aux yeux verts, portant des lunettes. Une joyeuse bande d'amis en somme. Trés peu pour moi. Je préférais me tenir à l'écart. Certes, ils ne me critiquaient pas quand je portais des robes, j'ai toujours eu horreur des vêtements masculins. Lorsque je porte l'uniforme à l'école, je me sent obligé de porter une petite culotte sous mon pantalon. J'imagine que beaucoup d'homme trouveraient ça excitant. Mais je ne fais pas ça pour eux. Je me sent bien comme ça c'est tout. Je n'ai jamais aimé les filles. Je préfère être plus ou moins à leur image que d'être attiré par elles. N'importe quel adolescent normal n'aurait pas assumé son homosexualité naissante je suppose. Mais pas moi. Non, j'aimais cette ambiguïté sexuelle. Et ça m'arrivait trés souvent de resté à contempler discrètement certains garçons dans les vestiaires avant d'aller en cours de sport. Surtout ceux aux cheveux noirs. J'aime les hommes aux cheveux noirs. Et j'aimais observer leurs corps si différents du mien, la plupart du temps plus musclé et mieux battient. Parfois je me faisais dévisager... avant d'entrer dans les cabines. Non, je ne pouvait pas me permettre de me désabiller devant les autre, pas avec mes sous-vêtements féminins...... Mmm? Ca manque peut-être de détails croustillant n'est-ce pas? Si cela peut éclairer votre lantèrne de curieux, oui, j'ai déjà eu un petit ami. Et c'est bien ce qui a fait tout basculer. C'était stupide comme rencontre. Trés stupide. En fait, j'ai reçu un mot doux adressé à une fille par erreur. Il venait de lui. Je savais que cela ne m'étais pas adressé, mais je voulais tout de même savoir quel genre de garçon écrivait encore ce genre de choses de nos jours. Cela m'intriguait. Alors je l'ai simplement attrapé par le bras à la fin des cours et je lui ai tendu le mot, lui faisant remarqué qu'il l'avait éguaré dans mon casier. Il m'a regardé, s'est excusé. Je lui ai alors demandé si cette fille vallait vraiment là peine qu'on lui écrive ce genre de chose. Il n'a pas répondu. Alors je me suis détourné de lui pour partire. Jusqu'à ce qu'il me dise que pour un garçon, j'étais un jolie fille. J'avais envie de l'étrangler. J'avais l'habitude qu'on se moque de moi de cette manière. Vous savez.... Ces petits imbéciles qui vous demande si vous voulez sortir avec eux tendis que leur copains glousse derrière eux. Pourtant, cette fois c'était totalement différent. Il avait l'air.... Sérieux. Il me plaisait. Je devais bien l'avouer. Je lui ai demandé si je devais considéré ce mot comme m'étant adressé ou non. Il m'a répondu oui. Je n'ai jamais vraiment su pour lui, mais en ce qui me conscernait, je considérais cela comme le début de notre relation. Non, je ne l'ai pas embrassé sous le soleil couchant comme dans un des ces stupides feuiltons qui fait pleurer les becasses. Je suis simplement partie en lui adressant un signe et en lui disant à demain. En rentrant chez moi, je n'en ai parlé à personne. Pourquoi étaller ma relation au grand jour? C'était inutile, ça ne regardait personne, pas même Silver. Haaa.... J'ai faillit oublier un détail plutôt important... Andrew. C'était son nom. Un nom banal pour une personne banale. Logique je suppose. Je ne sais pas si je l'aimais ou pas. Mais c'était mon petit ami. Il était bisexuel. Je le laissait me toucher. Personne n'avait le droit, à part mes amis. Le contact humain est une chose qui m'a toujours mis mal à l'aise, je déteste qu'on me touche. Le mamours, trés peu pour moi. Mais avec Andrew ça allait. Je me laissait faire. Ca me fait un peu honte de l'admettre mais je me laissais apprivoiser... Sans doute un peu trop. Chaque Vendredi matin, nous avions deux heures de sport. Jusqu'à l'heure du repas. Lorsque la fin du cours sonnait, tout le monde s'empressait de courire pour aller manger. Silver me faisait un signe avant d'aller rejoindre les autres, ils savaient que je les rejoindrait en court de route, j'ai toujours été lent à m'habiller, surtout quand je devais porter cet immonde uniforme, et ce satané pantalon. Pour être direct, je me retrouvais toujours seul avec Andrew dans les vestiaires vides. Cela signifiait exactement: 15 ou 20 minutes à se bécoter avant la fermeture à clé des vestiaires par le professeur. Moi j'aimais bien ce moment privilégier que j'avais avec lui. Lui aussi. Visiblement beaucoup. Je suppose que vous désirez une description de la scène? Voyeurs.... Vous savez quoi? Ca fait déjà plus de 30 lignes, alors si j'ai envie, je peux vois laissez en plan. Ca serait cruel non? D'accord je vais être gentil, aprés tout vous avez fait l'effort de me supporter jusqu'ici. Mais je vais faire une pose tout de même. Et aller me chercher une brique de jus de pomme. J'ai soif à force de parler. Ne bougez pas, je n'en ai pas pour longtemps.

......

Voilà. Je vous ai manqué? J'éspère sincèrement que non. Du coup j'ai perdu le fils. C'est vraiment affreux j'ai l'impression de rédiger mes mémoires là. Je suis trop jeune pour faire ça. Quoi? La suite? Oui je t'ai vu grogner, toi, au fond de la salle! Il faut être patient dans la vie mon petit, sans quoi tu fonce tout droit dans le mur, si tu ne l'a pas déjà touché... Ha oui, le mur. Justement. C'est là qu'il m'a plaqué et qu'il a commencé à vouloir baisser mon pantalon. Oh toi la fanne de yaoi au fond de la salle ça va! Oui toi! A côté du type qui vient de grogner! Je veux du silence, alors arrête de piailler! Ca n'a rien du scène d'amour consentie entre deux garçon, non! Ce.... Ce connard a essayer de me prendre contre un mur! Il n'y a rien de drôle!..... Pardonnez-moi je m'emporte légèrement.... Hum... Je disais donc.... Ah oui. Mon cher Andrew m'a donc plaqué contre le mur, et je me suis laissé faire. Je pensais que ça serait comme d'habitude. Qu'il se contenterait de m'embrasser comme d'habitude, que ça n'irait pas plus loin. Mais non. Il a glissé sa main vers la bas de mon corps et a baisser le pantalon que je n'avais pas encore eu le temps de ratacher correctement. Je me suis mis à pleurer contre ses lèvres, à donner de faible coups pour me défendre. Finalement.... Il ne m'a pas violé. Parceque je lui ai littéralement explosé la tête en lui donnant ce qu'on appelle communement un coup de boule. Vous vous souvenez de Âmes Perdues? Le Roman dont je vous ai parlé tout à l'heure? Ben pour les connaisseurs, sur le coup je me suis sentit comme Ann, même si elle m'a agaçé tout le long du bouquin. Ah ben tiens, puisqu'on parle de Poppy Z Brite, je réalise à présent que mon petit ami s'appellait Andrew. Comme le héros d'un autre de ses romans, un type plutôt fracassé, un cannibale. Voyons donc le bon côté des choses, j'aurais pu me faire dévorer vivant et ce au sens propre de la chose..... Ahah...... Ben allez quoi riez, me dîtes pas que j'ai jeté un froid, ça va me foutre mal à l'aise... Bon, c'est compris, je n'utiliserais plus d'humour noir avec vous vu la réaction de l'assistance... Bref. Il a reculé, j'ai essuyé mes yeux et je l'ai regardé avec l'air le plus haineux dont j'étais capable. Qu'est-ce qu'il ma dit à ce moment là déjà.... Attendez que la formulation exacte de la phrase me revienne.... Ah oui. "Fais pas ta pute.". Voilà ce qu'il ma dit. Charmant n'est-ce pas? Donc, si je suis sa logique, j'étais son petit ami, je portais des sous-vêtements féminins, je refusais de me laisser dépuceler.... Attendez.... Copain+culotte+refus, mélangez tout ça et ajouté une pinçée de l'esprit arrêté d'un connard et vous obtenez.... Tadam! Une pute. C'est à dire moi. Sympathique.... Je suis partie. En courant. Je n'ai pas été rejoindre les autres, j'ai quitté l'établissement, purement et simplement. J'ai pris le bus jusque chez moi, et une fois rentré, je me suis enfermé dans ma chambre. Je n'ai pas pleuré. Je n'avais pas envie. J'étais..... Dégoûté. Foutrement dégoûté. J'en voulais à la Terre entière, je ne voulais plus voir qui que ce soit. Finalement.... J'ai été contrain et forçé de cracher le morceaux. Silver est rentré, le soir, avec tous les autres. Génial. Il m'a sermoné, a voulu des explications, m'a regardé fixement puisque je ne répondais pas. J'ai fondu en larme. Littéralement. Alors j'ai été obligé de tout raconter.... Et de retenir Silver qui s'est retrouvé animé d'envies meurtrières. Les autres avaient l'air grave. Dans ce genre de moment avec eux, c'est câlin général. Pour la première fois, c'est moi qui me suis retrouvé au milieu. C'était..... Assez désagréable pour tout vous avouer. Le soir même, tendis que tous les autres avaient regagné leurs domiciles respectifs, Silver à insisté pour que je vienne dormir avec lui. Sans-doute pour me rassurer. Je n'en avait pas besoin. Mais je ne voulais pas le contrarier. Voilà. Ca aurait pu se finir comme ça. Sauf que j'avais 15 ans. A l'instant même où je vous parle, j'en ai 19. En toute logique, vous devez comprendre que mon histoire n'est pas terminée. Rasseyez-vous. I-mé-dia-te-ment. Voilàààà. Aller, courage, j'ai bientôt terminé. Reprenons. Je suis donc retourné au lycée environ une semaine aprés. J'avais besoin de me reposer, de faire le point sur moi-même. En arrivant en classe, j'ai réalisé qu'on me regardait, non.... Qu'on me dévisageait. Et vous ne devinerez jamais quoi.... Mon petit ami adoré, celui avec lequel j'étais pret à renouer en rentrant en classe, oui, ce connard là, avait pris un malin plaisir pour se vanger à raconter à tout le monde que je lui avais sauté dessus dans les vestiaires et que je l'avais supplier de.... De quoi déjà? Ah ouais.... De me baiser. Ce mot est une véritable horreur à mes oreilles. Mais je ne fais que citer ses dires. Non, je ne me suis pas mis à pleurer devant tout le monde. J'ai trop de fierté pour ça. Non. J'ai traîné mon sac jusqu'à son bureau, je l'ai posé lourdement dessus, et je lui ai lançé un regard meurtrier en lui demandant quel genre de personne pouvait bien supplier de se faire violer. Personne n'a réagit. Je devais déguager trop de mauvaises ondes. Mais ils pouvaient bien rire et me critiquer dans mon dos autant qu'ils le voulaient. Je m'en foutais à un point inimaginable. Durant ces trois ans qui séparaient mes 15 ans de mes actuels 19 ans, je me suis complètement renfermé sur moi-même. La seule chose qui m'importait, c'était les études. Je ne faisais plus la différences entre amis ou ennemis, je voulais qu'on me laisse en paix, seul, dans mon coin, comme l'animal sauvage que j'étais et que je suis encore...... Arrêtez de me regarder comme ça pitié, je ne suis pas à plaindre, c'était mon choix. Finalement, Assado est devenue..... Croque-mort.... Si si. Ceux qui maquillent les cadavres, sincèrement ça ne m'étonne pas d'elle. Michael bosse dans une école primaire, Gaby est en fac de lettres, Silver enchaîne les petits boulots et moi..... Direction le Japon. Oui, c'est un détail que j'ai oublié de préciser depuis le début de l'histoire. J'étudis le japonais depuis des années. Aidé par Yû-Yû, étant donné qu'il sagit de sa langue maternelle. Il parraît que je suis doué. En tout cas je me débrouille. Moi ce que je voulais c'était illustrer des livres pour enfants. Sauf que ben j'ai jamais eu le niveau pour entrer dans un école de dessin. Donc, fac, Japon. Sauf que ben, ahah, vous pensez bien, manque de cul.... Candidature refusée. J'étais pris, en théorie. Mais non. Au dernier moment. Refusé. Et maintenant? Comment rentrer chez moi? Mes parents m'avaient payé l'arrivée, je vous l'ai déjà dit, on est pas pauvre et ils ne pouvaient que m'encourager à voyager. Mais pour le retour.... Bref. J'appellais Silver tout les soirs, lui faisant croire que j'avais bien integré l'école. Pendant ce temps je vivais dehors. En plein été. La température était correcte. Mais l'hiver est vite arrivé. Et je n'aurais pas été capable d'y survivre. Mais le destin, dans sa grande bonté.... A fait que j'ai été repéré par..... Un employé d'une boîte. Une boîte qui s'appellait Hypnotic Poison... Rien que le nom me foutais les ch'tons.... M'enfin on a rien sans rien. Rassiez toi le type au fond, je termine, merci. Bref, j'ai été présenté au patron, et comme j'ai besoin d'assurer ma subsistance et que ici il y a pleins de mec riches à milliards à voler, je suis devenu strip-teaser et je travail sous le surnom de Lady White Rose. La rose blanche... La plus pure des fleurs... Tout ce que je ne suis pas. Sauf pour la virginité je vous l'accorde. Ah ah.... Au fond ça n'a rien de bien compliqué, il suffit de s'agiter devant une bande de mec, et comme je suis légé, me trémousser contre une barre n'a rien de trés sorcier pour moi. Le comble du bonheur, je peux enfin m'habiller comme je le désire. Dieu merci. Bon. C'est finit, vous pouvez partire. C'est bientôt l'heure. Je vais aller appeller Silver, ensuite, c'est l'heure de mon show. Vous n'avez qu'à venir me voir, si vous n'avez rien d'autre à faire. Ca me ferait trés plaisir......... En fait non, je plaisante....

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[*]Nom/Pseudo : Assado.
[*]Âge : Ca interesse quelqu'un?
[*]Où avez-vous trouvé ce forum ? Excellente question, je l'ai depuis un moment dans mes favorits... Puis comme c'était un coup de coeur commun avec mon Nissou... Voilà...
[*]Quel est votre avis dessus, avez-vous des suggestions ? Pas particulièrement, il faut que je m'y habitue.
[*]Code réglement : Code bon


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MessageSujet: Re: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitimeMer 29 Déc - 21:46

Code Validé ;-)
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MessageSujet: Re: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitimeJeu 30 Déc - 12:54

Alors, bienvenue *un vrai nouveau, en revient pas* =o

J'ai lu ta fiche, qui au final m'a bien plu, donc je te valide (à moins que quelqu'un y trouve quelque chose à redire '_'), par contre, je te mettrai ta couleur et ton rang quand tu auras remis ton avatar aux bonnes dimensions. ^^ (200*320 au cas où tu l'aies raté dans le règlement lol)
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MessageSujet: Re: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitimeJeu 30 Déc - 16:46

Merci pour la validation. Harf.... Pour ce qui est de l'avatar je n'arrive pas à le mettre aux bonnes dimentions, il est toujours forcement trop petit. ^^"
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MessageSujet: Re: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitimeVen 31 Déc - 19:16

Je suis carrément à la bourre là Oo Bonne fiche, qui m'a beaucoup plus même si par manque de saut de ligne, j'ai les yeux explosés là @@ Pour ton avatar, envoies moi l'image de base par MP, je m'en occupe mais comme les proportions ne sont pas bonnes, je vais devoir le rogner un peu pour le redimensionner ^^"

Sur ce, bienvenue collègue !
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MessageSujet: Re: Enjyu Hollow   Enjyu Hollow Icon_minitime

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